|
|
|
La dix-septième et donc dernière interview
Christian Rauth, lauréat du Premier Prix littéraire de l'année 2020
Exceptionnellement également présentée en vidéo, avec introduction du contexte, par Ternoise.
Christian Rauth, lauréat du Premier Prix littéraire de l'année, un prix attribué pour la 17eme et dernière fois le 1er janvier 2020.
Son interview, écrite, je vous la présente également en vidéo.
C'est la première fois que j'agis ainsi.
Même s'il précise « Je ne suis pas encore écrivain », les réponses de Christian Rauth témoignent "d'une sensibilité d'écrivain".
La quintessence de cette expression échappera forcément aux "auteurs de circonstance ou de fatuité" et aux lecteurs en quête de simple divertissement.
J'aurais aimé trouver le moyen de rendre un peu plus visible cette dernière interview.
L'état sanitaire de notre planète n'a rien à voir avec la fin de ce prix littéraire.
17eme et dernière interview.
Un jour peut-être j'aurais la chance de rencontrer Christian Rauth pour une interview vidéo.
Ca ne se déroulera pas dans ma commune, sauf naturellement si un grand changement s'y produisait.
 |
Une vidéo avec mes questions et les réponses de Christian Rauth.
En plus naturellement de la version écrite sur SALON du LIVRE .PRO
Et des précisions pour vous permettre de comprendre la situation de la fin de ce prix littéraire de l'année.
Le versant associatif de ma démarche culturelle ne peut plus être associé à la commune de Montcuq en Quercy Blanc, où ont sombré les valeurs de la République,
les valeurs de la Culture, la liberté d'expression.
J'ai essayé d'alerter. Mais ce fut en vain. Il faut croire qu'une telle situation ne dérange, finalement, personne.
Elle fut peut-être simplement un peu en avance sur la transformation de notre République en "autre chose".
Après l'arrêt du salon du livre de Montcuq en Quercy Blanc en 2019, l'arrêt du prix littéraire semble une suite logique de l'état de ma commune, de mon département
je peux même ajouter.
La réponse du député de la circonscription est significative : « Vos affaires locales ne me concernent en rien. »
Il était pourtant venu au salon du livre en 2017,
M. Aurélien Pradié, mais sûrement moins par démarche littéraire que par amitié pour le maire, se prétendant également "gaulliste"
tout en étant le cousin de l'ancien potentat cantonal.
« Vos affaires locales ne me concernent en rien » venant de cet homme parfois noté jeune député,
et "numéro 3" de ce qu'il reste de l'expérience chiraquienne, sous le nom "les Républicains".
Un gaullisme passé de « je vous ai compris » à « Vos affaires locales ne me concernent en rien. »
Le silence du Président du département est également significatif.
Tout comme celui de la mouvance Macroniste, il est vrai que dans notre commune nouvelle, l'adjointe au maire a eu droit de parrainer un candidat
à la Présidentielle 2017
et qu'elle a parrainé M. Emmanuel Macron.
Confronté à ce clan, pour lequel les idées me semblent de simples placements stratégiques, j'ai donc cessé toute activité associative,
un clan capable "en temps de paix" d'inventer un mensonge en conseil municipal pour justifier la mise en quarantaine du salon du livre.
Mes propos nous éloignent de l'oeuvre et des réponses de Christian Rauth.
Mais nous vivons dans ce pays et ce prix littéraire a existé, malgré tout.
Il fallait bien ici également expliquer le pourquoi.
Il y a ces politicards, et un homme qui se confronte à la littérature, avec dans les bagages de multiples expériences artistiques.
Ce qui fait un homme, ce qui fait "la valeur ajoutée" de l'écrivain.
Ces interviews des lauréats, ont toujours visé à comprendre la femme ou l'homme, plus que décrypter l'oeuvre primée.
Donc pour la première fois, une lecture d'interview.
Désolé, vous avez pu constater ma totale absence de talents d'imitations dans mes vidéos de parodies.
Où naturellement j'en joue.
Donc ici je ne chercherai pas à imiter Christian Rauth.
Voir Christian Rauth l'interview, le texte.
Votre avis
|
